Journée en Diois

Journée en Diois

7H00 et déjà des gouttes de pluie… À 7H 30 au Vélocal, nous serons une quinzaine à embarquer pour le Diois, cette fois. Base de départ Mirabel et Blacons. La route est presque sèche et même si les nuages sont nombreux et le vent soutenu, nous partons vers Beaufort-sur-Gervanne. Et déjà, à 4 Km, c’est le col de la Boîte, 437 m … la mise en jambes est rapide … Daniel a promis un peu plus de 2200 D+ … pour 140 Km environ, la journée promet … Avec déjà, les premiers arrêts Kway, je l’enlève … je le remets, au gré des difficultés et du vent.

Après Montclar-sur-Gervanne, nous suivons la vallée de la Gervanne puis celle de l’Escoulin par une belle route qui nous emmène jusqu’au col de la Croix à 745 m, juste avant Saint-Julien-en-Quint… à la recherche d’un café chaud. Nous poussons jusqu’à Die, où le fournil de Sylvain, nous accueille bien chaleureusement.  « Je m’y arrête à chaque fois que j’y passe » dira, Jean-Paul.

« Attention à la circulation, maintenant c’est direction Pontaix, par la nationale et puis, après Pontaix, nous irons jusqu’à Barsac…, où fut inhumé Yves au milieu des cépages muscats blancs de la Clairette dioise»… précise Daniel.

À partir de là, c’est de la côte jusqu’à Saint-Nazaire-le-Désert … le vent sera avec nous, cette fois… Nous évitons le col de Penne et ses pourcentages élevés … pour aller par la magnifique vallée de le Roanne jusqu’au superbe petit village de Saint-Benoît-en-Diois. Là, c’est halte repas pour tous le monde et, une photo « Engie ». C’est aussi ici, que Catherine, J.Pierre, J. Paul et Hubert rentreront au plus direct par Pont-d’Espenel … et la grande route.

A Saint-Nazaire-le-Désert, 1èrecrevaison d’Anaïs. Daniel modifie le retour pour aller sur Bourdeaux par le fameux col de Lescou, à 829m, attendu depuis le matin … Et, 2 km après sa crevaison, Anaïs remet ça (une aventure déjà vécue il y a 3 jours)… Ludo prend la roue en main, met un morceau de pneu. Ça tiendra cette fois ! Après  Bourdeaux, la descente est rapide, même si le vent est maintenant de face. A la sortie de Saoû, se profile déjà le Pas de Lauzun dernière difficulté … l’approche se fait au train, merci Nicolas, et les derniers virages sont, pour les plus vaillants, l’occasion d’allumer la mèche1 !

Rentrés à Mirabel, nous sommes unanimes, ce fut une belle sortie … félicitations spéciales à Bernard, en délicatesse avec son dérailleur qui à « mouliné bien des fois … ».

Daniel promet encore de belles sorties excentrées, dans les prochains mois.

 

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